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Le terme de « cybercrime » est de plus en plus utilisé, sans que l’on sache toujours très bien à quoi il fait référence ; et les chiffres avancés pour tenter de qualifier le phénomène sont parfois hasardeux, voire soumis dans certains cas à la seule caution des éditeurs de logiciels de sécurité qui possèdent un intérêt à conclure leurs études avec des montants engendrés par l’activité des cybercriminels colossaux. Toujours est-il que les bénéfices réalisés par les « spammeurs », les « phisheurs », et les cybercriminels en tout genre attestent de l’intérêt pour une activité criminelle « moins risquée » et tout autant rémunératrice, si ce n’est plus, que le commerce de drogue. Le cybercrime existe et se renforce, même s’il est difficile d’en cerner les contours.

Dans une tribune publiée sur le site du Monde, un collectif de juristes spécialisés dans la question du cybercrime propose une analyse qui met en avant la complexité du phénomène et les différents écueils rencontrés par les personnes dont les métiers s’organisent autour de la lutte contre le cybercrime. Fort de cette analyse, le texte souligne le besoin de dispositifs de lutte unissant secteur public et privé, en référence notamment à Signal Spam qui procède de cette philosophie de l’action concertée entre industriels et autorités.

Pour retrouver la tribune sur le site lemonde.fr, suivez le lien suivant :

Tribune : Comment mieux protéger les citoyens et l'économie contre le cybercrime ?